Bruxelles

“Désolé, je ne parle pas néerlandais.” C'est une réponse qui ne surprend plus ni les Bruxellois ni les Amstellodamois depuis longtemps. Le néerlandais survit-il dans nos capitales? Qu'en est-il des nombreuses autres langues maternelles? Et quel ciment les citadins ont-ils encore besoin à part la langue? “Si vous en faites une lutte entre le néerlandais et l'anglais, ce dernier en sortira vainqueur.”

Le futur est multilingue, nous l'entendons plusieurs fois tant à Bruxelles qu'à Amsterdam. Et l'anglais ne chassera pas tout de suite le néerlandais, remarque l'expert en langues Marc van Oostendorp à travers de petites choses. “Si aujourd'hui, vous parlez anglais à l'étranger avec quelqu'un qui se révèle par la suite être de langue néerlandaise, il y a toujours une sorte de honte qui surgit. Tant que c'est le cas, le néerlandais n'est pas en danger.”

Comment les villes font-elles face à des défis cruciaux autour de la mobilité, du logement, des déchets, du tourisme et de la langue?
AT5 et BRUZZ ont enquêté à Amsterdam et à Bruxelles.
'Ville du Futur', cinq semaines à partir du 20 avril sur BRUZZ tv, BRUZZ.be et dans le magazine BRUZZ.

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